Deux pièces faciles à vivre
Je continue à étoffer peu à peu ma garde-robe de basiques pour cet hiver (zéro achat de fringues depuis la rentrée de septembre... mais mmmh, je ne fais pas ma maline question achats de tissus...)
Un nouveau t-shirt à manches longues, pour aller au bout de mon coupon de jersey gris si doux à porter. J'ai utilisé le patron M comme must-have, en prolongeant les manches grâce au modèle d'Ottobre déjà utilisé ici.
Bon, c'est quand même bizarre de voir que la taille S de M comme Must-have a les mêmes proportions que le 42 d'Ottobre.... Mais je préfère le décolleté plus près du cou de ce modèle, il est pile comme j'aime.
Et j'ai ajouté une petite carpe Koï au pouchoir (sans blague, j'avais du freezer paper depuis des années sans le savoir. J'avais acheté ça lors de ma période patchwork, sous le nom de piecing paper, jamais utilisé, et c'est la même chose !).
Et clairement, je vais récidiver.
La seconde pièce n'est pas une vraie nouveauté.
Cet été, j'avais cousu un Sorbetto top dans un drap chiné, d'une qualité incroyable (malheur de malheur, il n'en reste presque plus). Mais décidément, les hauts sans manche ne me conviennent pas et je ne l'avais jamais porté. Donc ce matin, j'ai enlevé les biais posés aux emmanchures, taillés une paire de manches avec le patron de la robe Sureau, et transformé ce haut d'été en tunique d'hiver.
Le coton au tomber lourd lui donne un petit air de vareuse qui me plait beaucoup.
Les fronces des manches ont disparu, un petit pli creux a suffit à résorber le surplus de tissu de la tête de manche.
Avec un ourlet arrondi plus long dans le dos, c'est une pièce hyper confortable.
Son seul défaut: une encolure trop ouverte pour l'hiver, port de châle en laine obligatoire !