Teva Durham, c'est pas pour les patates (comme moi...)
C'est le second modèle de Teva Durham que je réalise, et la première fois ne m'a pas servi de leçon. Il faut BIEN LIRE TOUT JUSQU'AU BOUT !
Vraiment-vraiment jusqu'au bout, sinon on oublie une série d'augmentations pour le raglan et on doit recommencer.
Vraiment-vraiment vérifier son nombre de mailles entre chaque anneau marqueur, sinon on se retrouve à devoir refaire-sans-tout-détricoter le raglan d'une des épaules pour décaller d'une maille les diminutions.
Et vraiment-vraiment bien lire le paragraphe qui explique la construction du modèle avant de commencer...sinon on ne place pas bien de départ du motif, et la nervure de feuille qui doit prolonger la côte torse se retrouve en décallage.
Patate, va ! (et Bubulle qui donne des coups de queue dans le tricot et me fait rater mes photos !)
Mais je vais encore une fois essayer de refaire ce bout-là sans tout détricoter.
Heureusement qu'en n°8, il y a peu de rangs et peu de mailles.
Et pour les curieuses, le modèle se contruit en 2 temps: on débute par le bas du buste avec le premier motif de feuilles. On s'arrête au bout de 9 inches, on met les mailles en attente.
On monte ensuite les côtes du col, on commence en aller-retour pour la patte de boutonnage, on continue en circulaire et en top-down pour le raglan, avec le second motif de feuilles. On sépare le devant et le dos pour continuer en aller-retour, et si j'ai bien compris (euh, si j'ai bien tout lu jusqu'au bout...) on rassemble les deux moitiés du buste par grafting.
En tous cas, Teva Durham nous garde de la monotonie des pulls habituels (dos-devant-manche1-manche2) et garde nos neurones en éveil (enfin, les miens, pas assez apparemment...)
Eh, sinon, vous avez vu ça ?